Dans mon existence parsemée d'endives au caramel et de tartes flambées ( oui l'un des deux est bien meilleur que l'autre), il y a une chose dont mon corps, mes cors et mon coeur ( cherchez l'intrus...) ne peuvent se passer : le Racing. Oui je sais, on me l'a dit, ce n'est pas très tendance en ce moment. Mais que voulez-vous ? il n'y a que ce maillot qui m'aille et la moutarde me monte au nez quand on ose blasphémer sur la drogue de ma dépendance à laquelle je me suis passionnément accoutumé. La Meinau est mon héroïne qui me défonce le rond central ( pour une fois qu'on inverse les rôles...) et m'explose la forme de vie incroyablement primitive présente entre mes deux appareils auditifs. Fais tourner Kevin, c'est de la bonne. Non je parle de la balle, pas du genou.
(nouveau concept qui impose deux lectures différentes: une sérieuse sans cliquer sur aucun lien, l'autre plus légère où on peut cliquer sur ces derniers et voir le billet d'une autre manière..)